La Résidence - Horreur au Pensionnat
Critiques Spectateurs de La Résidence - Horreur au Pensionnat
Réalisé par Narciso Ibáñez Serrador, sorti en 1969.
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8.5
★★★★★★★★½☆
5 critiques
10 3
9 0
8 2
7 0
6 0
5 1
4 0
3 0
2 0
1 0
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publié le 22/09/2022 - 08:22
quelques longueurs
Je resort avec un avis mitigé sur ce film. Si il est indéniable que l'atmosphère du pensionnat de jeunes filles au allure de prison est fidèlement retranscrit. Ainsi que les sévisse perpétré par la surveillante. J'ai trouvé que le film soufré de quelques longueurs , de plus les meurtres sont assez peu nombreux. Seul , la fin avec son twist final peuvent surprendre des personnes qui ne s'y attendent pas.
publié le 01/10/2013 - 14:44
Mon avis
publié le 09/12/2010 - 10:01
La résidence
publié le 11/10/2009 - 18:48
Horreur gothique!!
publié le 22/06/2008 - 13:10
La résidence de ces dames
Depuis le temps que j’en rêvé, la résidence me fus livrée. Allait-il être à la hauteur de mes espérances ou allais-je déchanter ? Et bien pour être plus qu’honnête, un peu des deux. Pour commencer le film se déroule dans un pensionnat de jeunes filles , dirigée par une directrice(Lilli Palmer)des plus autoritaire mais aussi des plus torturer de l’intérieur, voulant à tout prix en faire de véritable femmes. Aidée dans sa besogne par une sorte de sous directrice qui elle ne cachera jamais son plaisir à infliger des sévices corporels à ces pauvres filles, ou allant même jusqu'à l’humiliation. Certaines étant au bout du rouleau préféreront la nuit venue faire le mur et partir à jamais. Mauvaise idées le soir venue un tueur rôde au alentour de cette résidence éliminant quiconque voulant se faire la malle. De sur Narciso Serrador , n’a jamais du prendre à la légère les bouts d’essai , pour nous apporté ce lot de comédiennes autant charmante de beauté que dans leurs jeu d’actrices, les regards que celles-ci ce lancent, la complicité, et la solidarité entre elle arrive sans peine à nous transporté dans cette univers,dramatique mais aussi d’épouvante, amenant ainsi une atmosphère particulièrement noire. Mais tristement c’est la que le bas blèsse, car pour apporté cette atmosphère, Serrador prend bien son temps(même un peu trop) car le rythme reste lent, certaines scènes longuette et les meurtres rarissime , mais rassurez vous , peu de meurtre à l’écran certes, mais quand cela arriveront , sans pour autant être gore (oui la résidence est un pur film d’épouvante) Serrador saura les mettre en valeur pour que le spectateur apprécie d’avoir attendue jusqu’ici, le premier sera filmé d’une très belle manière , mélangeant habilement visage de la victime et l’instrument de mort utiliser par l’assassin, et le second prendra le spectateur par surprises, après bien avoir jouer avec nos nerfs. Mais le plus étonnant restera ce que peu de réalisateurs osent faire, liquider un personnage principal. L’autre problème (et dernier) étant donné que le film est assez âgé (1972) les séquences nocturnes seront presque irregardables par la cause d’énormes grains venant parasiter tout l’écran. Cela dit la résidence reste un beau film pour ses décors intérieurs et ses costumes, les relations entre ses pensionnaires, et la présence d’une Lilli Palmer tout à fait grandiose.