Yeti
Critiques spectateurs
Réalisateur: Paul Ziller Avec Peter DeLuise, Josh Emerson, Ona Grauer, Crystal Lowe, Elfina LukInscrivez-vous ou connectez-vous pour ajouter votre avis !
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publié le 21/03/2013 - 20:21
Yéti
publié le 26/11/2010 - 13:35
L'abominable petite série B des neiges
Non satisfait de s’accaparer les idées d’autres productions, Yeti se noie sous une avalanche d’incohérences et de stupidités rarement inégalées. Quand on sait que le réalisateur n’est autre que Paul Ziller, responsable de l’effroyable Loch Ness terror ou bien encore le catastrophique Baal, on comprend mieux la nullité grandissante qui envahit cette production de seconde zone. La trame redondante n’apporte aucunement la moindre intensité. Les protagonistes sont aussi empâtés que leur esprit rédhibitoire. Chacun a bien appris son rôle de casse-pieds ou de rigolos de services, sans oublier le héros sans peur et sans reproches. On se réjouirait presque de les voir mourir des mains du Yeti, seulement où se trouve t-il ? Certainement en train de gambader dans la forêt ou de sauter comme un cabri à tout vent.
En effet, l’attraction principale du film se voit tour à tour un gros empoté qui peine à marcher. Il se trouve alors dans la phase « acteur qui se cache sous une montagne de latex », ce qui n’est pas plus mal au vu de la suite des évènements. Car l’on pourrait croire qu’avec un faciès aussi peu avenant, il se cacherait ou ne sortirait que la nuit, mais non. Notre ami possède un tempérament très social ! Aussi lorsque de rares visiteurs daignent lui rendre visite, il s’empresse de les accueillir comme il faut. Voilà qui est la moindre des choses pour un hôte de marque. Mais il faut leur apprendre les bonnes manières à ces vanupieds. Seulement, il peine à les trucider. Il préfère se contenter des cadavres qui, il faut le reconnaître, gesticule beaucoup moins. Outre ce costume aussi moche qu’encombrant, on nous inflige des images de synthèses encore plus pathétiques qui finissent de ridiculiser le Yeti. A ce moment, il entre dans la phase « je suis la réincarnation d’un kangourou des neiges ».
Vous l’aurez compris aisément qu’il n’y a rien à en tirer de bon. Yeti aurait pu s’intituler L’abominable petite série B des neiges pour avertir le spectateur de son inutilité, même si le nom du cinéaste devrait suffire à avertir la majorité d’entre nous. Toujours est-il que ce genre de productions mériterait de ne jamais voir le jour (ce qui n’arrivera certainement jamais). Au lieu de créer un bon petit survival animalier avec peu de moyens, mais de la volonté et du travail, on se retrouve en présence d’un étalage d’incohérences dans une histoire aussi invraisemblable que copiée sur d’autres films. On constatera également la performance des plus anecdotiques d’un casting aussi ringard que dénué de talent. Est-il besoin de poursuivre ? Yeti ou comment sombrer dans une avalanche de nullité.
publié le 06/10/2010 - 15:04
Appelez Brigitte Bardot !!!!
publié le 21/07/2010 - 18:45
Yéti
publié le 10/01/2010 - 08:52
Au plus profond du nimportekwa
publié le 10/09/2009 - 22:03
Mon avis
publié le 22/03/2009 - 10:09
Mon avis
publié le 04/03/2009 - 10:06
Bougloudou Bhâraya Zoubikõf Ougladâch
"Yéti" est une expérience unique, réservé pour les cascadeurs neuronaux qui n'ont peur de rien. Moitié navet moitié nanar, on oscille constamment entre l'ennui profond devant la vacuité des dialogues et l'ineptie des situations, et la divine destruction de toute forme d'intelligence devant une connerie hors-norme présentée avec le plus grand sérieux. Un Yéti tout pourlingue, dont le costume en toile de jute, déclenche l'hilarité à chacune de ses apparitions. Des situations improbables et débiles qui méritent d'être saluées pour leur portnawak constant. A noter l'une d'entre elle, splendide, où l'un des héros qui s'est cassé les deux jambes après avoir été poursuivi par Mr Yéti pas content, se fait une attelle à droite avec une grosse radio (pratique), et une attelle à gauche avec le bras arraché de son défunt camarade de fuite... Pas con!
Ce... film (allez, on va l'appeler comme cela) déçoit, car il est à la fois nanar et à la fois navet. Si les séquences d'actions sont gigantesques de nanardise, et font rire aux éclats, au point que l'on en bave nos quelques neurones encore en activité, toutes les séquences de remplissage qui les entourent sont assez pénibles, et malgré leur connerie, ne parviennent pas à divertir, mais plus à ennuyer profondément, à faire chier anormalement, d'où mes lésions anales... Heureusement, quelques scènes bien gores, et surtout l'extraordinaire expérience nanarde vécue lors des scènes "horrifiques" justifient à elles seules la vision de ce monstre de cinéma! MaghÅboul Blukilóch Youpidou!!!
publié le 22/02/2009 - 13:12
Absurde !
publié le 09/02/2009 - 00:52
Mon avis