Masters of horror 8 - La fin absolue du monde

Ce huitième film des "Masters of Horror" est vraiment réussi, John Carpenter nous plonge dans notre monde ordinaire où un grand collectionneur de films fait appel à un très bon cinéaste qui s'est trouver ce qu'il veut.Il va alors lui demander de trouver la seul et unique copie existante de "la fin absolue du monde" qui est un film de Hans Bacovik et qui montrerait ce qui est dit dans son nom (la fin du monde) en toute sa splendeur. Les acteurs sont bons,le scénario est extrêmement recherché car jamais je n'ai vu un sujet lui être semblable mais une chose m'a déçu : en effet j'aurais voulu voir le film en question car on n'en aperçoit que des extraits. L'univers est assez noir mais pas autant que ce que je pensais. Vraiment ce que j'aurais aimé c'est que Big John ou un autre réalisateur refasse ce film,et oui, et qu'il soit interdit partout tel "massacre à la tronçonneuse" à son époque.Ce n'est pas du gore que je veut loin de là mais juste de la noirceur,même du haut de mes 15 ans j'aimerais voir un film montrant la fin absolue du monde.Durant les 58 minutes du films on est tenu et on voit tout de même des chose pus qu'étranges qui affectent la personnalité des personnages et leur fait vivre leur propre destruction si on peut dire. Vraiment bon mais j'aurais voulu voir "le film" dont on parle et non pas que des morceaux en montrant la noirceur est en dépassant les limites que peut avoir un être humain.Enfin après mon petit coup de folie je finis par dire que j'ai aimé.

John Carpenter ne démérite pas dans cet exercice, bien que la durée moyen metrage nous donne un résultat ou on a l'impression que les choses se déroulent assez vite, voir facilement mais le contenu y est, la recette est bonne, le rendu aussi. A mi chemin entre La neuvième porte pour son coté recherche et a l'Antre de la Folie pour sa perte entre réalité et imaginaire le résultat, pour quelque chose de si court est plutot impressionnant. Le résultat est bien fait, l'ambiance bien tendue, et on se retrouve a notre tour a vouloir voir ce film maudit qu'est La fin absolue du monde... John Carpenter nous plonge dans ce désir intense de l'interdit, ou même si on est sur de se bruler on plonge la tête en première qui d'ailleurs laisse un effet final du "Mais, je voulais la voir aussi la Fin Absolue du Monde!" :)

Bien que certains avis soient injustement méprisants à l’égard de cet épisode, je tiens vivement à défendre John Carpenter sur LA FIN ABSOLUE DU MONDE. Rappelons tout d’abord qu’il s’agit d’une série qui coté scénario est très ambitieuse. Et de qualité quand aux choix des réalisateurs. Redisons aussi, car certains ont tendance à l’oublier, que MASTERS OF HORROR à eu les couilles d’oser « montrer » à la télévision le genre que peu de gens aiment… C’est-à-dire l’horreur. Et le fantastique aussi. Mais la télévision américaine étant ce qu’elle et avec son coté puritain, bien crédule celui qui s’attendait à un déluge d’effets spéciaux gores ! Déjà ce n’était pas le but de Mick Garris et il ne fallait pas non plus s’attendre à ce que les producteurs affluent à grand pas pour financer la série. Même si un certain coté « manque de budget » se fait parfois ressentir dans cet épisode (il faut vraiment le chercher), CIGARETTE BURNS est le meilleur épisode de la série que j’ai pût voir jusqu’à aujourd’hui. Et puis John Carpenter n’est-il pas le maître dans le domaine du budget serré ? L’histoire qui nous ais comptée est bizarroïde mais passionnante. L’on accroche plus à l’histoire principale que celle, secondaire, du père qui prête de l’argent à son soit- disant beau-fils. Mais toute deux se suivent sans déplaisir même si certains passages laisse à réflexion et non, comme certains l’on dit hasardement, à rire de bêtise. Des personnages inhabituels qui agissent de façon bizarre avant de tomber de haut. Un père véreux et méchant peut n’en avoir rien à foutre que sa fille et on gendre soient tout deux de gros junkies. Je suis de ceux qui pensent qu’il ne faut pas nécessairement de tout pour faire un monde mais dans celui dans lequel nous vivons toute personnes est différente et agit de façon tantôt abstraite, tantôt claire. Etc… Chacun sa vision des choses mais il est pour moi difficile de nier la qualité de l’ensemble. Je comprends les gens qui n’aiment pas et je saisi le coté déroutant de ce petit film mais vu le manque d’inspiration flagrant du cinéma de nos jours, il serait injuste de cracher dessus ! Un film maudit qui rend fou ou tue quiconque le regarde. Et il fallait bien tout le talent de John Carpenter pour emballer tout ça. Les comédiens aussi ! Pour une fois… Un mot pour qualifier l’ensemble : envoutant. L’on ne peut s’empêcher de se laisser attirer par ce film dans le film. Une œuvre démoniaque qui sort de l’écran duquel on le visionne. Un effet bizarre rarement vu. Un tel sujet, une telle force mériterait d’être matérialisée sur grand écran. Y-a-il un espoir ?

Un épisode bien sympa réalisé par un grand maître du frisson et de l'horreur. Le scénario est pas mal penser mais comporte pas mal de lacunes, du moins pour ma part, certaines scènes ne sont pas utiles du tout et un peu pompeuses. Les acteurs quant a eux font un sans fautes et sont convaincants. petit bémol quand même au père de la fille, qui est un peu limite. De bon effets gore viennent pimenter le film et le tout forme un épisode assez envoutant et intéressant.

Un très bon épisode de la série Masters Of Horror. Ce film marque un grand retour à l'écran de Big John. Cigarette Burns fait rappeller le très bon In The Mouth Of Madness par son concept. Bref, un indispensable de cette série. 7.5/10

L'episode des Masters of horrors que j'avais le plus envie de voir, car le scenario avait l'air pas mal. L'histoire d'un expert en film d'horreur à la recherche d'une oeuvre quasi-legendaire qui lors de sa seule et unique vision a entrainait la mort et le chaos. Mais moi aussi, plusieurs passages m'on rappeler The ring, ce qui m'a pas mal déçu. Il y a tout de meme une ou deux scenes qui mérite le coup d'oeil. Sinon, entre l'ambiance et la musique, on est bien dans un film de Carpenter, ce qui devrait plaire au fan. Sachant que pour cette série les delais et les crédits accordés aux réalisateurs sont peu importants j'ai mis une note de 6,5 mais j'ai arrondi à 6 car trop déçu pour mettre 7.

Oh mais quel chef d'oeuvre!!! Au début, on se dit, que le film met du temps à démarrer mais avec du recul on repense au début et on se dit que c'était essentiel et pas si dispensable que ça. Donc après 10 bonnes minutes, le film trouve déjà son rythme de croisière et quel rythme! John Carpenter nous offre le chef d'oeuvre absolu qu'on pouvait imaginer et surtout attendre suite aux excellentes critiques (9 et 8.82 sur ce site). Ambiance glaucque, noire et très gore, scènes insupportables, ce film est une pure merveille. Les 10 dernières minutes sont à couper le souffle, on a l'impression que notre coeur va lacher tellement c'est intense. Meme si l'épisode 4 et 7 furent bons, il a fallu 5 épisodes pour que nous retrouvions ce bon masters of horror et surtout que nous retrouvions LE véritable master of horror, j'ai nommé John Carpenter, chapeau!

???? Excuse-moi de t'interrompre ... ainsiiii! Carpenter n'est pas un réalisateur de toute première catégorie sans doute, mais son film est tout de même l'une des rares réussites de cette série débile ! Quant à comparer ce film avec Ring ... quelle idée ? Pour le film dangereux ? Ce n'est pas vraiment le même sujet : d'un coté, une vidéo hantée par un fantôme nippon, de l'autre une vidéo dirigée par le diable lui-même ... désolé, mais le sujet du film de Carpenter se rapproche de tous ses autres chefs d'oeuvre dont forcément son irréprochable Mouth of Madness !!! Le film ne s'attaque pas aux amateurs de films d'horreur ... simplement aux cinglés avides de snuff (on va pas les défendre non plus!!!!!!!!).

Avec un debut à la carpenter comme dab, javoue vers le debut ne pas accrocher, mais vers le millieu TERRIBLE,il fallait penser une histoire pareil!Asser gore pour du carpenter, qui l'histoire se fini comme je les aimes!

J'ai bien aimé les clin d'oeil à Dario Argento, avec Profondo Rosso à l'affiche au cinéma et quelques fois la musique ressemblais aussi à celle qu'on entend dans les films de Dario Argento et souvent à celle des films de Carpenter biensûr.