8 MM : Huit Millimètres
Critiques spectateurs
Réalisateur: Joel Schumacher Avec Nicolas Cage, Joaquin Phoenix, James Gandolfini, Peter Stormare, Catherine KeenerInscrivez-vous ou connectez-vous pour ajouter votre avis !
- Connectez-vous ou inscrivez-vous pour publier une critique
Vous souhaitez soutenir Horreur.net ? N'hésitez pas à faire un don, même symbolique, sur Tipee.
publié le 04/07/2021 - 20:41
Réalisateur médiocre et peu
Réalisateur médiocre et peu inspiré (on lui doit deux épisodes catastrophiques de «Batman»), Joel Schumacher revient ici à son sujet de prédilection - l'autodéfense - déjà abordé dans «Chute libre» et «Le Droit de tuer». Œuvre très noire qui dépeint l'univers éprouvant des «snuff-movies» (films pour lesquels de vrais meurtres seraient commis mais dont l'existence n'a jamais été démontrée), «8mm» sombre rapidement dans la violence gratuite et la complaisance malsaine. Efficace mais douteux et racoleur, tant dans son fond que dans sa forme.
publié le 04/07/2021 - 20:41
Réalisateur médiocre et peu
Réalisateur médiocre et peu inspiré (on lui doit deux épisodes catastrophiques de «Batman»), Joel Schumacher revient ici à son sujet de prédilection - l'autodéfense - déjà abordé dans «Chute libre» et «Le Droit de tuer». Œuvre très noire qui dépeint l'univers éprouvant des «snuff-movies» (films pour lesquels de vrais meurtres seraient commis mais dont l'existence n'a jamais été démontrée), «8mm» sombre rapidement dans la violence gratuite et la complaisance malsaine. Efficace mais douteux et racoleur, tant dans son fond que dans sa forme.
publié le 04/07/2021 - 20:41
Réalisateur médiocre et peu
Réalisateur médiocre et peu inspiré (on lui doit deux épisodes catastrophiques de «Batman»), Joel Schumacher revient ici à son sujet de prédilection - l'autodéfense - déjà abordé dans «Chute libre» et «Le Droit de tuer». Œuvre très noire qui dépeint l'univers éprouvant des «snuff-movies» (films pour lesquels de vrais meurtres seraient commis mais dont l'existence n'a jamais été démontrée), «8mm» sombre rapidement dans la violence gratuite et la complaisance malsaine. Efficace mais douteux et racoleur, tant dans son fond que dans sa forme.
publié le 04/07/2021 - 20:41
Réalisateur médiocre et peu
Réalisateur médiocre et peu inspiré (on lui doit deux épisodes catastrophiques de «Batman»), Joel Schumacher revient ici à son sujet de prédilection - l'autodéfense - déjà abordé dans «Chute libre» et «Le Droit de tuer». Œuvre très noire qui dépeint l'univers éprouvant des «snuff-movies» (films pour lesquels de vrais meurtres seraient commis mais dont l'existence n'a jamais été démontrée), «8mm» sombre rapidement dans la violence gratuite et la complaisance malsaine. Efficace mais douteux et racoleur, tant dans son fond que dans sa forme.
publié le 04/07/2021 - 20:41
Réalisateur médiocre et peu
Réalisateur médiocre et peu inspiré (on lui doit deux épisodes catastrophiques de «Batman»), Joel Schumacher revient ici à son sujet de prédilection - l'autodéfense - déjà abordé dans «Chute libre» et «Le Droit de tuer». Œuvre très noire qui dépeint l'univers éprouvant des «snuff-movies» (films pour lesquels de vrais meurtres seraient commis mais dont l'existence n'a jamais été démontrée), «8mm» sombre rapidement dans la violence gratuite et la complaisance malsaine. Efficace mais douteux et racoleur, tant dans son fond que dans sa forme.
publié le 04/07/2021 - 20:41
Réalisateur médiocre et peu
Réalisateur médiocre et peu inspiré (on lui doit deux épisodes catastrophiques de «Batman»), Joel Schumacher revient ici à son sujet de prédilection - l'autodéfense - déjà abordé dans «Chute libre» et «Le Droit de tuer». Œuvre très noire qui dépeint l'univers éprouvant des «snuff-movies» (films pour lesquels de vrais meurtres seraient commis mais dont l'existence n'a jamais été démontrée), «8mm» sombre rapidement dans la violence gratuite et la complaisance malsaine. Efficace mais douteux et racoleur, tant dans son fond que dans sa forme.
publié le 04/07/2021 - 20:41
Réalisateur médiocre et peu
Réalisateur médiocre et peu inspiré (on lui doit deux épisodes catastrophiques de «Batman»), Joel Schumacher revient ici à son sujet de prédilection - l'autodéfense - déjà abordé dans «Chute libre» et «Le Droit de tuer». Œuvre très noire qui dépeint l'univers éprouvant des «snuff-movies» (films pour lesquels de vrais meurtres seraient commis mais dont l'existence n'a jamais été démontrée), «8mm» sombre rapidement dans la violence gratuite et la complaisance malsaine. Efficace mais douteux et racoleur, tant dans son fond que dans sa forme.
publié le 04/07/2021 - 20:41
Réalisateur médiocre et peu
Réalisateur médiocre et peu inspiré (on lui doit deux épisodes catastrophiques de «Batman»), Joel Schumacher revient ici à son sujet de prédilection - l'autodéfense - déjà abordé dans «Chute libre» et «Le Droit de tuer». Œuvre très noire qui dépeint l'univers éprouvant des «snuff-movies» (films pour lesquels de vrais meurtres seraient commis mais dont l'existence n'a jamais été démontrée), «8mm» sombre rapidement dans la violence gratuite et la complaisance malsaine. Efficace mais douteux et racoleur, tant dans son fond que dans sa forme.
publié le 04/07/2021 - 20:41
Réalisateur médiocre et peu
Réalisateur médiocre et peu inspiré (on lui doit deux épisodes catastrophiques de «Batman»), Joel Schumacher revient ici à son sujet de prédilection - l'autodéfense - déjà abordé dans «Chute libre» et «Le Droit de tuer». Œuvre très noire qui dépeint l'univers éprouvant des «snuff-movies» (films pour lesquels de vrais meurtres seraient commis mais dont l'existence n'a jamais été démontrée), «8mm» sombre rapidement dans la violence gratuite et la complaisance malsaine. Efficace mais douteux et racoleur, tant dans son fond que dans sa forme.
publié le 04/07/2021 - 20:41
Réalisateur médiocre et peu
Réalisateur médiocre et peu inspiré (on lui doit deux épisodes catastrophiques de «Batman»), Joel Schumacher revient ici à son sujet de prédilection - l'autodéfense - déjà abordé dans «Chute libre» et «Le Droit de tuer». Œuvre très noire qui dépeint l'univers éprouvant des «snuff-movies» (films pour lesquels de vrais meurtres seraient commis mais dont l'existence n'a jamais été démontrée), «8mm» sombre rapidement dans la violence gratuite et la complaisance malsaine. Efficace mais douteux et racoleur, tant dans son fond que dans sa forme.
Pages