Eraserhead
Critiques spectateurs
Réalisateur: David Lynch Avec Jack Nance, Charlotte Stewart, Allen Joseph, Jeanne Bates, Jack FiskInscrivez-vous ou connectez-vous pour ajouter votre avis !
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publié le 22/10/2010 - 16:38
Le cauchemar selon lynch
publié le 31/05/2010 - 19:13
In heaven everything is fine
publié le 01/07/2008 - 03:32
Magnifiquement horrible!!!
publié le 01/01/2007 - 00:00
Eraserhead
publié le 01/01/2007 - 00:00
Euh...
publié le 01/01/2007 - 00:00
Bizare vous avez dit Bizare?
publié le 01/01/2007 - 00:00
Réponse à Popinou
publié le 01/01/2007 - 00:00
Ron zzzzzzz
publié le 01/01/2007 - 00:00
L éclosion d un génie!
publié le 01/01/2007 - 00:00
???????????????
publié le 01/01/2007 - 00:00
DU 100 % LYNCH !
publié le 01/01/2007 - 00:00
Arghh...
publié le 01/01/2007 - 00:00
Mon Avis
publié le 01/01/2007 - 00:00
Réponse à Ed Gein
Que ce soit Blue Velvet, Twin Peaks, Mulholland Drive ou Lost Highway (et même Dune ou Elephant Man pour la fascination envers les difformités), quasiment tous ses films comportent au moins un plan ou un détail visuel faisant référence à EraserHead.
De même, certains de ses métrages comportent des narrations totalement enigmatiques où l'intuition l'emporte souvent sur la raison, au même titre qu'Eraserhead Lynch le revendique même ouvertement avec Mulholland Drive qu'il a élaboré comme une énigme avec des indices clés).
De même, si l'aspect onirique te dérange mais que tu aimes le reste de son oeuvre, désolé mais je comprends pas là...
publié le 01/01/2007 - 00:00
Réponse à blackmij
publié le 01/01/2007 - 00:00
Subjectif mais jouissif
Pour ma part j'adhère complètement au processus... Eraserhead (de même que les deux autres cités plus haut) m'évoque l'errance de l'âme d'un protagoniste essayant tant bien que mal de reconstituer les fragments de sa vie passée, revus sous un aspect allegorique et angoissé.
Henry est balloté dans son univers mental (sa tête labyrinthe) et fuit une lumière (celle de la vérité en soi, à la fois attirante et repoussante telle cette jeune femme angelique au visage corrompu) à laquelle il devra bien finir par s'unir pour échapper aux limbes.
C'est là ma perception, elle n'en est qu'une parmis toutes celles que chaque personne pourrait trouver.
Une oeuvre dont on ne se lasse pas.
publié le 01/01/2007 - 00:00
Subjectif mais jouissif
Pour ma part j'adhère complètement au processus... Eraserhead (de même que les deux autres cités plus haut) m'évoque l'errance de l'âme d'un protagoniste essayant tant bien que mal de reconstituer les fragments de sa vie passée, revus sous un aspect allegorique et angoissé.
Henry est balloté dans son univers mental (sa tête labyrinthe) et fuit une lumière (celle de la vérité en soi, à la fois attirante et repoussante telle cette jeune femme angelique au visage corrompu) à laquelle il devra bien finir par s'unir pour échapper aux limbes.
C'est là ma perception, elle n'en est qu'une parmis toutes celles que chaque personne pourrait trouver.
Une oeuvre dont on ne se lasse pas.
publié le 01/01/2007 - 00:00
J'aimerais bien le voir