The Descent

J'ai l'honneur d'etre le 100e avis sur ce film (malgré que je l'ai vu il y a 5 ans), c'est un film que j'ai sur le coeur. Malgré qu'il ne m'as pas fait peur, j'ai adoré ce film par son intelligence et son interprétation sans faute. Très claustro, The Descent met mal à laisse assez vite, déjà l’intelligence du propos dramatique m'as attrapé à la gorge et fait la richesse du film SPOILER ATTENTION J'ai toujours considéré la fin comme un horrible drame humain, la mère à tous inventé (les monstres etc...) pour excuser ses actes (en gros c'est elle qui à tué ses copines, l'horreur...). Mais la présence d'une suite détruit cette puissance scénaristique, abrutis de producteurs de m***e). Un film à ne surtout pas ignorer. Un 10 bien mérité!

Dans la grotte, personne ne vous entend crier !

Ce film d’horreur est une réussite : d’une part, grâce au cadre choisi : la grotte, ses abymes et ses tunnels étroits. Amis claustrophobes, passez votre chemin !

De chemin justement, où nos six héroïnes cherchent en vain la sortie d’un labyrinthe apparemment habité…

Le réalisateur fait monter le suspense avec beaucoup d’habileté, entre hommage aux maîtres du genre et originalité tenant aux lieu et personnages uniquement féminins.

L’intérêt du film tient aussi dans l’évolution de certains personnages, la découverte de l’autre, dans une situation extrême : animalité des créatures, animalité des êtres humains. Bref, on a bien peur et si vous voulez faire de la spéléo, faites-en avant de voir le film. Parce qu’après…

The descent est un premier film d'épouvante très réussi, mais trop sanglant à mon goût. Mais j'ai tout de même bien aimé. Un premier film redoutablement efficace...

Voilà un survival au concept inédit et particulièrement habile. Etant quelque peu claustrophobe, rien que les scènes de spéléologie m’ont angoissé. Ensuite les Crawlers sont un peu convenus mais efficaces, mais pour moi le vrai succès de ce métrage britannique est la mutation psychologique de Sarah qui est très bien exploitée. Une vraie descente en enfer dans laquelle on a très envie de replonger pour notre éprouvant bonheur… ce qui est possible car le 2 est sorti en 2009, même si j’ai très peur d’être déçu…

6 amies organisent une expédition de spéléologie dans les Appalaches. A la suite d’un incident, elles se retrouvent bloquées dans les grottes. En tentant de trouver une issue, elles vont se rendre compte qu’elles ne sont pas seules dans ces cavernes noyées dans les ténèbres. Comme le dit si bien l’affiche, il y des films d’horreur et des films qui font peur. Lors de sa sortie, on aurait pu penser qu’il s’agissait d’un moyen comme un autre d’attirer et de titiller la curiosité du spectateur. En effet, nombreux sont les films à utiliser ce genre de subterfuge pour ce faire un public. Toutefois, ce qui est faux pour une majorité ne l’est pas forcément pour une poignée de long-métrages novateurs et intrigants. The descent fait partie de ceux-là. Certes, l’histoire peut paraître simpliste, mais tous les éléments du récit concourent à nous faire vivre une expérience unique. Tout d’abord, on décèle un réel soin apporté au développement des personnages. En l’occurrence, 6 jeunes femmes solidaires et entreprenantes auxquelles on s’attache rapidement. La raison de cette randonnée atypique n’est en rien un prétexte saugrenue n’ayant pour seul but que de débuter l’histoire. Ceci n’est qu’un avant-goût de la claque que procure The descent. L’angoisse à proprement parler émerge lorsque les protagonistes plongent dans les profondeurs de ces grottes obscures et mystérieuses. Un cadre effrayant et inhabituel. Empreint d’une aura inquiétante qui ne nous lâche pas une seule seconde, nous sombrons dans l’une des dernières frontières de notre planète. Un endroit où il semble impossible qu’une quelconque forme de vie puisse subsister. Si l’idée de transposer son récit dans pareil lieu se révèle des plus judicieuses, le mettre en valeur est une tâche beaucoup plus ardue. Neil Marshall relève le défi et l’emporte haut la main. Rarement un film aura réussit à nous faire ressentir l’exiguïté d’un endroit. Grâce à une mise en scène somptueuse, nous faisons partie de cette expédition. Mis à part Haze de Shinya Tsukamoto, je ne pense pas à avoir ressenti un tel sentiment de claustrophobie en regardant un film. En conclusion, The descent est un film d’horreur qui fera date. Sans concession, il propose une véritable descente aux enfers des plus éprouvantes.

The descent est une pépite parmi les films d'horreur de ces dernières années, une référence en matière d'horreur, un film qui joue à la fois sur le gore que sur l'ambiance, pour en sortir un film insoutenable , nous plongeant dans l'inconnu , efficace et sans fioritures, le must dans le film de genre et depuis bien longtemps.