Le Complexe du castor

8.7
Le Complexe du castor

Critiques spectateurs

Réalisateur: Jodie Foster Avec Mel Gibson, Jodie Foster, Cherry Jones, Anton Yelchin, Jennifer Lawrence

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Portrait de Crowdead Crowdead
Graine de psychopathe - 231 critiques
publié le 07/06/2012 - 22:44
10
 

Castor troy ? rien a voir !

Je ne m'attendais a rien de ce film mis a part une comédie gentiment cul-cul la praline. Mais quelle surprise ! ! ! Jodie Foster m'a submergé avec ce métrage qui ne paye pas de mine. Un drâme profondément humain ou chaque personnage a sa place et permettent de jouer avec les émotions du spectateur. Mel Gibson et Jodie Foster sont sensationnels malgré la difficulté de leur role respectif. Les gosses, aussi d'ailleurs. Les dialogues sont excellents... Un véritable petit bijou touchant sans tomber dans le pompeux ou niaiseux indigeste.
Portrait de Punisher84 Punisher84
I am Legend - 1390 critiques
publié le 24/06/2011 - 12:07
8
 

Père Castor

Jodie Foster est une comédienne de talent, c’est un fait. Mais ce que certaines personnes ne savent peut-être pas encore, c’est qu’elle aussi une excellente réalisatrice. Une femme qui sait choisir ses sujets. Des histoires intéressantes et atypiques qui sortent de l’ordinaire. Pas besoin d’un budget pharaonique mais juste d’un autre acteur confirmé, Mel Gibson, et d’un amour du cinéma que beaucoup de personnes peuvent envier. J’ai accroché dés le départ au scénario : un homme d’affaire en dépression qui se substitut via une marionnette « castor ». Une comédie dramatique avec des bases solides. Les mérites du film sont nombreux mais le plus grand revient en premier lieu à Mel Gibson. Qui a dis qu’il était fini ? Ses déboires personnels n’ont apparemment pas eu raison de lui. Et c’est tant mieux car il tient là un des meilleurs rôles de son immense carrière. Touchant à tout les points de vues, The Beaver a une réalisation solide. Il vacille avec une incroyable aisance entre le rire, la peur et l’incompréhension, je ne me suis pas ennuyer une seule seconde. Même si Anton « Fright Night 2011 » Yelchin est une vraie tête de con, je n’ai pas su me retenir d’avoir eu des frissons à presque chaque séquences. Les graffitis sur les murs, les peintures dans la chambre dans le grenier mais aussi la pathétique et attachante séquence du renouveau du personnage de Walter dans son entreprise. Une maîtrise presque parfaite de l’histoire, des protagonistes et des émotions du spectateur. Attention car nous venons de frôler la carapace d’un petit chef d’œuvre à en devenir !
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